On en est à au moins 269 versions discographiques (studio et concert sans compter les DVD…) et on a accès à plus de 90, y compris la dernière en date, celle du wonderboy Nézet-Séguin. 7,5, 2010 – Sakari Oramo – Royal Stockholm Philharmonic Orchestra Achetez en ligne ou faites vous livrer dans votre magasin proche de chez vous pour votre Musique Symphonie 1. Amazon.fr : Achetez Mahler: Symphony 1 au meilleur prix. 2002 Michael Gielen-  SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg Les deux premières avec le Concertgebouw d’Amsterdam (Maureen Forrester, 1966, puis Carolyn Watkinson, 1983 " live ", Philips) souffrent d’une prise de son étriquée qui dessert de superbes conceptions dramatiques. Difficile de disqualifier cette version car je sais qu’on aura ensuite sans doute le meilleur 2e mouvement, mais on est un peu déçu. Orchestre symphonique de la Radio bavaroise. choice of mahler symphony no.1 hello ... hello.i am newbie here and it's my first thread.i am looking for a good version of mahler sym no.1.some of my friends suggest the kubelik's in audite and kegel's in berlin classic.but i have not heard both before.waiting for some introduction of those 2 cds. 2000 Fabio Luisi – Sinfonieorchester des Mitteldeutschen Rundfunks Tout ça fait un peu tisane. 1960 Georges Sebastian – Orchestre Philarmonique de la RTF – sur Qobuz mais ne fonctionne pas… 1961 – Bruno Walter – Columbia Symphony Orchestra Grand son, beaucoup de puissance, plus de 65 ans plus tard, toujours une des meilleures versions ! Tempo lent, de l’ambiance, de la fluidité, une version vivante. 2014 – Thomas Hengelbrock – NDR Sinfonieorchester Title of Symphony No. Ca fait un peu démonstration orchestrale, mais c’est beau… 8, 1985 – Eliahu Inbal – Radio Sinfonie Orchester Frankfurt 8, 1987 – Bernard Haitink – Berliner Philharmoniker  7, 1974 – Maurice Abravanel – Utah Symphony Orchestra De l’allure, de la carrure, instrumentistes épatants, ici aussi un vrai chef. J’avais été déçu par sa 9e – cf. Prise de son un peu lointaine, beau début, ensuite c’est assez apathique et sans grand relief. 2014 Thomas Hengelbrock – NDR Sinfonieorchester 1988 Zdenek Kosler – Slovakia Philharmonic Orchestra 8, 1967 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks Tout d’abord, ce que vous écrivez à propos d’Henry-Louis de La Grange, dà propos de l’enregistrement d’Eliahu Inbal : Encore une fois très original, le début est conduit par les cordes, version assez rapide, moins univoque qu’avec les anciens, vivante et prenante tout du long. That said, the packaging is … 1966 Leonard Bernstein – New York Philharmonic Pour ma part, je l’écoute toujours avec beaucoup de plaisir ! 8, 2002 – Rico Saccani – A Budapesti Filharmoniai Tarsasag Zenekara 20-11-1889 Mahler conducted the première of the five-movement version of the Symphony in Budapest. Selon Anna Mahler, fille du compositeur, Steinberg était tout simplement le meilleur de tous dans cette symphonie, y compris devant Bruno Walter. Mahler : Symphonie n° 1, « Titan ». 2014 Silvano Frontalini – Volgograd Philharmonic Orchestra J’avais été impressionné par son intégrale des poèmes symphoniques de Liszt à Budapest. Chef inconnu. 1986 Lorin Maazel – Wiener Philharmoniker Enfin, j’aime également la version de Hengelbrock, qui permet encore d’entendre une version “Poème en forme de symphonie”. 5. 1990 Vladimir Fedosseyev – USSR Radio and Television Symphony Orchestra Ici, quelques extraits des répétitions. Symphony No 1. Balance curieuse, genre un coup je t’entends, un coup je t’entends plus, assez extérieur. 5,5, 1998 – Pierre Boulez – Chicago Symphony Orchestra Mais on a toujours été perplexe devant la renommée par exemple de ses Gürre Lieder. Dommage de négliger Klemperer à Munich , live de 1965 superbement enregistré de surcroît , et le Urlicht est un sommet de spiritualité …. Très linéaire, trompettes à peine audibles, tout sonne petit et étriqué, la prise de son est certes mal définie, mais je ne suis pas sûr qu’il y ait beaucoup à définir. Ambiance, mystère au début, trompettes très lointaines, fin de l'”éveil” très poétique, très bel orchestre, le tout est peut être un peu lent mais se déroule dans l’évidence. 2007 – Mariss Jansons – Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks Cordes chantantes, peut-être manquant de puissance, des rythmes marqués comme on aime dans Mahler. magnifique. Cela donne une impression constante de second degré impression. Tempo allant, trompettes trop présentes : c’est quand même ppp. 1952 – Jasha Horenstein – Wiener Symphoniker Mahler a beaucoup repris sa première Symphonie. 7, 2016 – Toshiyuki Kamioka – New Japan Philharmonic 4 – with an extra clarinet (also bass clarinet), a second horn and a trumpet in B flat. Ca s’éteint de plus en plus ensuite. 1. Rapide… BR Klassik 900 143. Nevertheless this boxed CD set continues to impress if high resolution is not available & in isolation still sounds impressive. Choeur de femmes du Singverein de Vienne Direction Johannes Prinz. Tempo très lent. Les vieux chefs d’orchestre russes ont souvent été injustement sous-estimés dans le répertoire austro-allemand (il a fait de superbes Brahms par exemple). La version que j’écoute est plagée curieusement avec des différences de présence sonore ; pas d’extrême grave comme chez Muti. Retrouvez tous les produits Symphonie 1 au meilleur prix à la FNAC. Tiré de Wikipédia, un passage de sa biographie : 5,5, 2016 – Yannick Nézet-Séguin – Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks 2003 Gabriel Chmura – Narodowa Orkiestra Symfoniczna Polskiego Radia Katowice Comme il est mort en 1999, la date est forcément erronnée… Bravo à l’orchestre pour cette lecture très correcte. https://www.amazon.com/Mahler-Symphony-Bloch-Concerto-Grosso/dp/B000002SB0, En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées, Les transcriptions des Tableaux d’une exposition, La violoncelliste Lidy Blijdorp joue Ravel et Kodaly, Musique de chambre de Ravel par les solistes de l’Orchestre philharmonique de Berlin, Nicolas Baldeyrou joue Boulez, Jarrell et Mantovani, Partitions en libre accès – Free classical music scores. 1er mouvement (100 versions) On a entendu ce chef en concert et comme pour Eschenbach ou Dohnanyi, cela ne nous a pas fait grande impression…. Toujours ce superbe orchestre, tempo lent, version assez placide dans une belle atmosphère. Cela reste pour moi la meilleure intégrale Mahler, 6e exceptée et j’ai écouté encore une fois le mouvement jusqu’au bout…. Prise de son manquant de présence, très beaux cors, mais dès le thème aux violoncelles, on est dans le mou. Contrebasse de première classe… Pas de parodie ici, just un orchestre de première classe. 1964 Georg Solti – London symphony orchestra 1952 Jasha Horenstein – Wiener Symphoniker 1977 Seiji Ozawa – Boston Symphony Orchestra Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. 1987 Leonard Bernstein – Concertgebouw 1989 Giuseppe Sinopoli – Philharmonia Orchestra At the time of Mahler's death the composition was substantially complete in the form of a continuous draft, but not fully elaborated or orchestrated, and thus not performable. Commentaire document.getElementById("comment").setAttribute( "id", "a88f2dd86efbfe177eb0a76badeaec57" );document.getElementById("e6c2291b79").setAttribute( "id", "comment" ); Prévenez-moi de tous les nouveaux commentaires par e-mail. Encore un orchestre magnifique (cors ! 1969 – Jacha Horenstein – London symphony orchestra Étonnant d’ambiance quand on vient d’écouter Kegel… trompettes vraiment lointaines. L’orchestre de l’Utah qu’il a fondé est dirigé actuellement par Thierry Fischer. 1952 – Jasha Horenstein – Wiener Symphoniker Excellente prise de son, chaque intervention soliste est un régal. Le “lever” n’est pas dans le murmure mais en plein soleil. 1992 – Evgeni Svetlanov The Russian State Symphony Orchestra 2008 Zdenek Macal – Czech Philharmonic Lecture propre, ça déroule tranquillement. Ce concert nous avait fait forte impression il y a 16 ans… Les bois sonnent très “français”, trompettes – perfectibles – dans la salle, beaucoup de bruits parasites, une lecture très directe, rapide, vivante, mais ça manque de fini. Grand manque d’animation. On passera Blumine. On entend toutes les interventions à tous les pupitres. D’accord pour Kubelik/DGG, vraiment très bien dans cette optique et que j’apprécie beaucoup. 6, 2010 – Vladimir Ashkenazy – Sydney Symphony Orchestra Je trouve le tempo un peu lent mis le flux musical se déroule parfaitement et si les cors sont un peu forts avant le trio, celui-ci est une merveille d’animation, de timbres, de carrure, de rythme… 9, 1977 – Seiji Ozawa – Boston Symphony Orchestra Fin virtuose, une belle lecture. 7, 2002 – Michael Gielen –  SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg 7,5, 2007 – Mariss Jansons – Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks Voilà un chef qui avait quelque chose à dire, de la vie du relief, même si c’est parfois un peu trop tenu. 8,5, 1962 – Erich Leinsdorf – Boston Symphony orchestra C’est amusant de voir que sur Qobuz on a droit à une minute alors que l’on a accès à l’entièreté de l’édition Decca… Le début est vraiment pp, superbe hautbois,les cordes au n° 6 sonnent vraiment comme des squelettes, les phrasés sont plus caractérisés qu’avec Horenstein, ave un meilleur son et un meilleur orchestre. 2010 Vladimir Jurowski – London Philharmonic Orchestra 7, 2011 – Ivan Fischer – Budapest Festival Orchestra  Prévenez-moi de tous les nouveaux articles par e-mail. Beaucoup de bruits d’orchestre et de public, mais son assez présent. La Symphonie nº 10 en fa dièse majeur est la dernière œuvre du compositeur Gustav Mahler.Quand il meurt, à 50 ans, seul le premier mouvement est terminé.. Mahler aurait exigé la destruction de toutes ses esquisses qu'on trouverait après sa mort et, toute sa vie, n'a jamais parlé ou joué des passages de ses œuvres avant leur achèvement. Assez similaire à la version studio DG 8,5, 1989 – Claudio Abbado – Berliner Philharmoniker Cela sent le studio, c’est un peu fondu et fade. 8,5, 1962 – Erich Leinsdorf – Boston Symphony orchestra Début correct, violons manquant d’impact, c’est assez plat. 2012 David Bernard – Park Avenue Chamber Symphony 1, 1893 version SACD. Comment négliger la merveilleuse version Ancerl, certainement la plus poétique avec Kubelík, et dans ce cas, son orchestre est absolument parfait ! 1992 Evgeni Svetlanov – The Russian State Symphony Orchestra 1979 Herbert Kegel – Dresdner Philharmonie Très lent, son très présente, de l’ambiance, un flux continu, seule la deuxième partie manque un peu d’allant ; un chef prometteur de 40 ans… 8, 2010 – Georg Tintner – Canada National Youth Orchestra Orchestre too much mellow? Henry-Louis de La Grange commença ses activités de critique musical en 1952, en écrivant des articles pour le New York Herald Tribune et le New York Times, ainsi que les magazines Opera News, Saturday Review, Musical America, et Opus aux États-Unis, et Arts, Disques, La Revue Musicale, et Harmonie en France. 2010 Andrés Orozco-Estrada – Tonkünstler-Orchester Niederösterreich Dès les premières mesures, on sent que ça va sonner mais sans grande nécessité. 7,5, 1961 – Bruno Walter – Columbia Symphony Orchestra McCracken n’est peut-être pas, vocalement parlant, LE Waldemar de la discographie, mais il met une impatience, une urgence, une tragédie dans son rôle qui fait de lui le plus crédible de la discographie. 7,5, 1951 – Dimitri Mitropoulos – New York Philharmonic There are two problems that need to be overcome in presenting the 1893, five-movement version of Mahler’s First Symphony (here also billed as “Titan: Symphonic Poem in Two Parts”). 1953 William Steinberg – Pittsburgh Symphony Orchestra Merci pour vos commentaires. 2008 Valery Gergiev – London Symphony Orchestra Orchestre somptueux, il accélère un peu avant la reprise. 2003 Gerard Schwarz – Royal Liverpool Philharmonic Orchestra L'encre est à peine sèche sur la partition lorsqu'il en conçoit une autre, en ut mineur. 6, 1983 – Georg Solti – Chicago symphony orchestra 1977 Klaus Tennstedt – London Philharmonic Orchestra 1993 – Michel Halasz – Polish National Radio Symphony Orchestra Tempo assez allant, pourquoi à partir du n°3 entend-on encore les interventions des vents comme dans un brouillard ? 9 in D Minor, WAB 109 (1894 Version): I. Feierlich, misterioso Vienna Symphony , Jascha Horenstein 1 J’étais sorti il y a longtemps au milieu d’un concert Schumann avec l’Orchestre de chambre d’Europe, assez ulcéré. N° 10 est peut-être un peu trop retenu. 13:45 PREVIEW Symphony No.1 In D Major : II. Beau début, beaux timbres, trompettes dans la salle, on n’entend pas vraiment la harpe, des bruits bizarres au n°9 (le chef chantera quasiment tout du long, tape du pied), mais c’est très prenant, un vrai chef. 8, 1972 – Bernard Haitink – Concertgebouw En 1888, à 28 ans, Mahler occupe depuis deux ans un poste de chef d'orchestre à l'Opéra de Leipzig où il a composé en pleine saison sa Première Symphonie. 7, 1991 – Libor Pesek – Royal Liverpool Philharmonic Orchestra Mahler’s original Symphony No. 8, 1995 – Riccardo Chailly – Koninklijk Concertgebouworkest, Amsterdam Malheureusement juste 1 mn de disponible sur Qobuz…, 2011 – Lorin Maazel – Philharmonia Orchestra  Suis dans les 2 & 3e mouvements, je vais écouter de nouveau Steinberg, peut-être un moment d’égarement ? Trompettes dans la salle, tout est bien plat. Vous avez certainement raison mais je ne devais pas y avoir accès. 8,5, 2014 – Thomas Hengelbrock – NDR Sinfonieorchester  Review by: David Hurwitz. 1995 Riccardo Chailly – Koninklijk Concertgebouworkest, Amsterdam 1962 Bernard Haitink – Concertgebouw 1979 Vaclav Neumann – Czech Philharmonic 7, 1977 – Seiji Ozawa – Boston Symphony Orchestra Ce chef tchèque, assistant de Bernstein dans sa jeunesse est décédé en 1995. C’est évidemment mieux qu’avec l’Israël de l’époque. 7,5. 1977 – Seiji Ozawa – Boston Symphony Orchestra Mahler’s symphony No. 6, 1992 – Evgeni Svetlanov – The Russian State Symphony Orchestra Un copain de Kub malgré le mur à l’époque (cf.). 1972 Bernard Haitink – Concertgebouw 8, 1966 – Leonard Bernstein – New York Philharmonic  Il s’agit du concert édité par Audite. C’est la “Hamburg Version 1893”, attention…  Les cordes au début sont effectivement ppp, les trompettes en coulisse sonnent comme des trombones, on n’entend pas grand chose puis tout d’un coup un solo de clarinette envahit tout l’espace. 2007 Mariss Jansons – Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks Cors impossibles. Orchestre superbe, début très poétique, sans doute une des plus belles lectures orchestrales, mais cela manque tout de même d’engagement à mon goût. On trouvera des éléments d’analyse de l’œuvre ici. Tempo encore plus lent que les deux précédents, trompettes trop lointaines, le tempo ralentit encore à partir du 3. 8, 1980 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks Bonjour, Tempo lent, timbres peu définis, orchestre moyen (cors), version très placide. 1 in D major printed on labels in English. Les quelques personnes qui me suivent savent combien je chéris Kubelík dans Mahler, vainqueur haut la main d’une écoute comparée de la 9e. Avec six versions de la Troisième Symphonie, Bernard Haitink détient le record d’enregistrements. Le lecteur -moi en l’occurence – avait signalé l’appréciation d’Anna Mahler, fille du compositeur, et non d’Alma Mahler, femme du compositeur, quant aux vertus de Steinberg -qui était, au demeurant, un ami des deux femmes-. 8, 1957 – Georg Solti – Kölner Rundfunk-Sinfonie-Orchester La prise de son est curieusement assez mal définie. D'ailleurs, Mahler lui même, a reconnu plus tard que son Wunderhorn Lied de 1892, La Vie Céleste, était l'origine, la cellule-mère de la Troisième et de la Quatrième Symphonie. A synoptic survey by Tony Duggan. Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. On ne gardera pour la suite “que” les 14 versions suivantes : 1952 – Jasha Horenstein – Wiener Symphoniker 1 in D major by Gustav Mahler was mainly composed between late 1887 and March 1888, though it incorporates music Mahler had composed for previous works. Il y a longtemps que je ne l’avais écouté : tout me paraît génial : les phrasés, les contrastes, l’animation, les timbres, bref. 1998 Pierre Boulez – Chicago Symphony Orchestra 2000 Zubin Mehta – Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino Pas grand chose à dire : bon tempo, respect des indications, superbe orchestre, rien d’emballant non plus. 9, 1953 – William Steinberg – Pittsburgh Symphony Orchestra 6, 1958 – Adrian Boult – London Philharmonic Orchestra Prise de son étonnante pour l’époque, lecture très naturelle, fluide, sonorités très typées, seuls les violons sonnent datés. La préparation du climax est très originale, qui s’appuie sur les basses de l’orchestre, mais le tout manque à la fois d’ambiances et de panache, malgré une fin très échevelée. On avait bien aimé ce chef dans la 9e et dans Schoenberg. Trop moderne et novatrice dans sa forme, Mahler la recomposera pour créer une version plus conforme à ce que la critique attendait d’un jeune compositeur. 7,5neu, 1988 – Zdenek Kosler – Slovakia Philharmonic Orchestra Les trompettes sont vraiment ppp car sans doute jouées en coulisse. 8, 1992 – Evgeni Svetlanov The Russian State Symphony Orchestra Kubelik, qui avait des difficultés avec la 7e étant jeune demanda conseil auprès d’Erich Kleiber qui lui dit “Respirez”, c’est exactement ce que je sens ici. 7,5, 1989 – Claudio Abbado – Berliner Philharmoniker Non, ce n’est pas une réduction pour orchestre de chambre… On se croirait au cirque avec les trompettes qui ne sont pas en coulisse. 8,5, 1977 – Klaus Tennstedt – London Philharmonic Orchestra  Quels instrumentistes !Tout est bien galbé, on dirait une musique pour “Soleil vert”… C’est absolument magnifique… probablement une des plus belles prestations orchestrales, mais ne nous concerne pas beaucoup : tout est trop policé, mais c’est tellement beau qu’on la garde pour la suite! Dans l’ensemble une version très recommendable si ce n’est le son vielli et l’orchestre moins que moyen. 4, 2010 – Andrés Orozco-Estrada – Tonkünstler-Orchester Niederösterreich 8,5, 1969 – Jacha Horenstein – London symphony orchestra Manque de présence sonore, timbres fruités (on entend distinctement les 2 lignes de cor au chiffre 3). Pas de reprise. C’est une excellente version, de bonne qualité sonore et un excellent orchestre. Superbe sol des cordes. Belle prise son, hautbois exagéré avant le n° 1, mais des instrumentistes magnifiques. Début plein de tonnerre, paniquant… C’est une interprétation très engagée. J’ai quitté un récent concert de Roth avec son orchestre les Siècles : il donnait le 5e de Saint-Saëns et on n’entendait péniblement que 1 note sur 10 au piano… Ici on a un orchestre normal. 2014 – Thomas Hengelbrock – NDR Sinfonieorchester. Son intégrale avait reçu un certain écho critique. C’est un peu plus vivant avec plus d’atmosphère, on n’entend pas tous les détails. Début apathique, après cela s’anime un peu, le passage central fait très cortège funèbre, anticipant le 3e mouvement, mais ensuite on manque parfois d’accents ; une version plus rêveuse que tonique. Anne-Sofie von Otter, mezzo-soprano. Pas de reprise, coucous très “philologiques”, très belle ambiance à partir du n° 5, des phrasés / balances originaux parfois, fin, 2015 – Hannu Lintu – Finnish Radio Symphony Orchestra 9 (Kubelik avait pour une fois l’air d’être content du résultat..). Le ralentissement du tempo avant la péroraison finale est saisissant. Superbe plasticité des cordes, pas d’extrême grave. 2013 Zubin Mehta – Australian World Orchestra Tempo lent, public très bruyant, quelques pains, encore un document, lecture plus dramatique que poétique. 7,5, 1989 – Emil Tabakov – Sofia Philharmonic Orchestra Quelle vitalité, quel investissement de la partition, c’est si dommage que le transfert DG donne une image un peu étriquée, très aiguë et sans extrême grave. 1989 Christoph Von Dohnanyi – Cleveland Orchestra C’est sans doute le premier solo de contrebasse du répertoire. Début très noir, une véritable marche funèbre, mais on trouvera pas d’éléments parodiques ici. Cordes chantantes, peut-être manquant de puissance, des rythmes marqués comme on aime dans Mahler. On m’a dit que c’était le même concert que le précédent. Cela a le mérite d’être original, mais c’est parfois un peu limite et le trio devient un non sens. 2015 Hannu Lintu – Finnish Radio Symphony Orchestra On a la beauté des phrasés (cordes ! Cordes ppp, mais c’est ensuite joli, sans grand caractère. C’est sûr que la nature dort au début… Lecture sans relief. 2011 François-Xavier Roth – SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg 3, 2012 – Eliahu Inbal – Tokyo Metropolitan Orchestra Début bien sérieux, après le son sature. C’est très beau plastiquement, mais on n’est pas concerné, on est même pas loin de Ketelbey parfois… 7, 1979 – Herbert Kegel – Dresdner Philharmonie Ormandy n’a enregistré que la 1, la 2, la 10-Cooke et Das Lied. 7, 1987 – Seiji Ozawa – Boston Symphony Orchestra 6,5, 2005 – Ken-Ichiro Kobayashi  -Japan Philharmonic Orchestra Mahler : Symphonie n° 9: Gustav Mahler, Claudio Abbado, Orchestre philharmonique de Berlin: Amazon.fr | Formats: CD, Vinyl, MP3 |Livraison gratuite dès 25 € d'achat Tout sonne un peu doucereux, les trompettes au loin, les cors avant le n°2 ; une lecture qui paraît bien extérieure. Quel chef ! La deuxième intégrale Bernstein, pour DG. Version très légère, beaucoup d’ambiance, pas le chic de la version Leinsdorf, mais encore une fois quel orchestre et une superbe animation à la fin ! 1967 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks 8,5, 2005 (?) The Leipzig Opera House where Mahler was working during the creation of his First Symphony. Mahler – Symphonie n°1 – Écoutes comparées. 1991 Libor Pesek – Royal Liverpool Philharmonic Orchestra Timbres orchestraux assez pâles, c’est assez inconsistant à partir du n° 4. C’est très neutre et un peu confus, atone également… 5,5, 1954 – Rafael Kubelík – Wiener Philharmoniker 8,5, 1997 – Christoph Eschenbach – Houston Symphony Orchestra  By Gustav Mahler. Je ne pouvais pas sortir après un premier mouvement d’une M 6 avec Rotterdam que je trouvais insupportable, quand il s’était mis ensuite à diriger avec un temps d’avance et tout s’était miraculeusement mis en place. Un orchestre composé d’instrumentistes du monde entier (mais c’est déjà le cas de beaucoup d’orchestres traditionnels). 2002 - DG (2 CD) N° 474 038-2. 1991 Charles Mackerras – Liverpool Philharmonic Orchestra La fameuse intégrale Inbal dont Henri-Louis de la Grange n’arrêtait pas de louer les parutions dans Diapason (lequel a qualifié Kubelik de Kapellmeister – ce n’est pas parce que l’on a consacré sa vie à compiler documents et témoignages sur Mahler que l’on est un bon critique (et inversement). Un lecture lente, plus inexorable que vivante. Gustav Mahler : Symphonie n°1 ” Titan ” (Kubelik) La première symphonie de Mahler est composée de janvier à mars 1888. Prise de son lointaine peu définie, peu de timbres, les trompettes à trois kilomètres. 8,5, 1995 – Riccardo Chailly – Koninklijk Concertgebouworkest, Amsterdam souvent haï dans ses dernières années par la critique française, notamment dans Mahler. 2005 Ken-Ichiro Kobayashi  -Japan Philharmonic Orchestra 7,5, 2009 – Gustavo Dudamel – Los Angeles Philharmonic Orchestra 7, 2011 – François-Xavier Roth – SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg La liste des versions (manque par exemple Svetlanov): 1939 Bruno Walter – NBC Symphony Orchestra C’est de fait très vivant mais on cherche “Mit Parodie” au n° 6… Les indications dynamiques ne sont pas toujours respectées, mais c’est assez prenant. No 1. Symphony No. (Pourquoi payer Qobuz : on a droit à une minute alors qu’on a gratuitement l’intégralité sur Spotify ?). Je garde sept versions, en enlevant une Kubelik pour ne pas exagérer. Le début des hostilités CBS / Philips / Decca /DG… Ce fut mon disque de chevet avant de me faire offrir le coffret Kubelik pour mes 18 ans… C’est évidemment au cordeau. Une bonne version, mais qui manque un peu de tesnion et de relief. 2016 Yannick Nézet-Séguin – Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks Pas parce que c’est le plus bel orchestre, ni les meilleurs interprêtes (quoi que..), mais parce qu’Osawa insuffle une vie, un drame à son interprétation, qui sont absents chez la concurrence. J’ai écouté le début de l‘Italienne parue récemment chez DG, où donc se trouvent ces soufflets dans la partition ? 6,5, 1961 – Bruno Walter – Columbia Symphony Orchestra 7,5, 2013 – Zubin Mehta – Australian World Orchestra Peut-être moins caractérisé que Kubelik ou Horenstein, c’est mené par les cordes, c’est virtuose, peut-être un peu trop avant le trio qui se termine de façon un peu superficielle, mais une bonne version dans l’ensemble. 7, 2013 – Zubin Mehta – Australian World Orchestra C’est bien langsam Schleppend, mais c’est animé, splendides interventions instrumentales, cuivres vibrés, le seul à faire le hautbois pp avant 1, ambiance très pastorale, cymbale un peu envahissante à la fin. Impression d’inexorabilité, c’est puissant et dramatique et le trio ne laisse pas souffler. 2011 Ivan Fischer – Budapest Festival Orchestra 1956 Rafael Kubelik – Orchestra Sinfonica di Torino della RAI En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. ), superbe ambiance à partir du 13 et c’est un tout petit plus animé qu’Haitink. On a l’impression d’entendre plusieurs contrebasses au début.. Une bonne lecture, mais guère prenante. Un peu moins de glissandi qu’avec Vienne. 7,5, 1995 – Riccardo Chailly – Koninklijk Concertgebouworkest, Amsterdam Mais la découverte de la version Hengelbrock le valait bien… et j’ai oublié Ken-Ichiro Kobayashi. Ecoutez “Mit Toves Stimme flüstert der Wald” par McCracken, puis écoutez-le dans la version d’inbal, justement, qui avait été bien reçue par la critique. 6,5, 2008 – Valery Gergiev – London Symphony Orchestra Le plus rapide. C’est insignifiant. Il s’agirait donc d’un premier enregistrement avant sa fameuse intégrale avec le Concertgebouw. Il y a sans doute nombre de critiques musicaux en France qui aimeraient avoir ce CV…, Quant à ce que vous écrivez sur les Gurrelieder d’Osawa, je suis parmi ceux qui ADORENT cette interprétation. 2005 (?) 9, 1989 – Claudio Abbado – Berliner Philharmoniker 6, 1964 – Willem Van Otterloo – Wiener Festpiele Orchester Du chic, de l’animation, belles prestations instrumentales dans l’ensemble. – Bernardo Kuznetsov – St Petra Russian Symphony Orchestra 1981 – Claudio Abbado – Chicago Symphony Orchestra   7,5, 1969 – Kirill Kondrachine – Moscow Philharmonic Orchestra Gustav MAHLER (1860 - 1911) Symphonie n°3. Il existe un concert avec l’Orchestre symphonique de Montréal dont il a été le directeur artistique de 1961 à 1967, en 1963 pour l’inauguration de la salle Wilfrid-Pelletier. 1989 Edo De Waart – Minnesota Orchestra Quel orchestre… Tout sonne à la perfection. C’est une excellente version, de bonne qualité sonore et un excellent orchestre. 7, 2003 – Gerard Schwarz – Royal Liverpool Philharmonic Orchestra 8, 1977 – Seiji Ozawa – Boston Symphony Orchestra Bavarian Radio Symphony Orchestra / Rafael Kubelík (DG) This distinguished coupling has already been available at bargain price so its appearance in The Originals livery comes as something of a surprise. 1 has a larger orchestral structure and greater symphonic dimensions than his Symphony No. Tout est bien agencé mais cela paraît extérieur. 1967 Igor Markevitch – Orchestre National de l’ORTF 7,5+, 1991 – Simon Rattle – City of Birmingham Symphony Orchestra  6,5, 1993 – James Judd – Florida Philharmonic Orchestra 7, 2016 (?) Il l’avait faite plusieurs fois à Amsterdam et Chicago auparavant. Une lecture plus atmosphérique que pénétrante. En tous cas le son est très présent, on est dans la Herkulesaal, c’est instrumentalement idoine (les cors, les trompettes, le timbre chaleureux de la flûtiste Irena Grafenauer…), tout chante, tout est merveilleusement agencé, bref. En guise de remerciement, la première sculpta -c’était son métier- une statue du visage du chef, qui orne la pochette originale de l’album, que l’on peut voir, notamment, ici : https://www.amazon.com/Mahler-Symphony-Bloch-Concerto-Grosso/dp/B000002SB0. Son cette fois très correct, superbes clarinettes joyeuses et bondissantes, cors parfois limites mais très Weber, violoncelles un peu pâlots et nasillards, mais superbes glissandi après la reprise et le reste à l’avenant, j’oubliais les trompettes. Il est entre autres actuellement directeur associé à l’Orchestre de Paris. 8’30” également. Un lectuer m’a fait par de son ahurissement quand il a lu ma critique de l’enregistrement de Steinberg pour le 1er mouvement “Le meilleur interprète de Mahler, devant Walter, pour Anna Mahler”. 7,5, 2013 – Zubin Mehta – Australian World Orchestra Belle prise de son, mais le tout manque de vie et de caractère. 8,5, 1969 – Eugene Ormandy – Philadelphia orchestra 9, 1967 – Igor Markevitch – Orchestra della RAI, Torino En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées, Les transcriptions des Tableaux d’une exposition, La violoncelliste Lidy Blijdorp joue Ravel et Kodaly, Musique de chambre de Ravel par les solistes de l’Orchestre philharmonique de Berlin, Nicolas Baldeyrou joue Boulez, Jarrell et Mantovani, Partitions en libre accès – Free classical music scores. 7, 2007 – Bernard Haitink – Chicago Symphony Orchestra 7,5, 1980 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks le son manque un peu de finesse mais a beaucoup d’impact une des meilleures versions. On a peine à imaginer qu'un ouvrage aussi unitaire et puissamment structuré que la Deuxième Symphonie de Mahler ait été le fruit d'un long et douloureux effort, et pourtant plus de six ans se sont écoulés entre les premières esquisses et l'achèvement du grandiose finale. 1954 – Rafael Kubelík – Wiener Philharmoniker Tempo lent, vents très sonores, c’est joli, mais guère prenant.
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